Défi pour les parents : lâcher prise et soutenir en même temps

IL est important que les parents ne considèrent pas ce comportement comme un affront personnel. Les mères et les pères doivent apprendre à lâcher leurs enfants tout en leur apportant leur soutien. Cependant, les adultes ne doivent pas simplement reculer dans les discussions. En outre, ils doivent montrer aux adolescents les limites à ne pas dépasser, car une tolérance excessive et des règles trop laxistes ne constituent pas une base pour les frictions et les disputes. Mais si les conflits ne sont pas réglés, les adolescents ne peuvent pas faire des essais et s’affirmer.

Entre provocation et insolence

S’il n’y a pas assez de points de friction, les adolescents cherchent d’autres moyens de provocation pour tester leurs limites, par exemple par un manque d’engagement à l’école ou par la consommation d’alcool ou de drogues. Le défi pour les parents est de pouvoir distinguer avec patience entre l’exubérance adolescente et les transgressions claires des limites. Pour trouver le bon équilibre, il peut être utile de parler à des amis dont les enfants ont le même âge. Si un jeune rentre ivre d’une fête, il peut s’agir d’une erreur ponctuelle;

N’hésitez pas à recourir à une aide professionnelle

Cela devient plus difficile si cela se répète ou si les pubères s’isolent pendant plusieurs mois. Dans ce cas, les parents devraient chercher une aide professionnelle, par exemple auprès d’un centre de conseil en éducation. Cela vaut également si les adolescents souffrent de compulsions et de peurs, sont violents ou se droguent.

Examen J1

L’examen dit J1 chez le pédiatre fournit également des informations importantes sur le stade de développement et le comportement ostensible des jeunes. Au cours de cet examen, on vérifie l’état de développement des enfants de 12 à 14 ans. Les jeunes sont soumis à un check-up complet : En plus d’un test d’urine, l’indice de masse corporelle est déterminé. S’il y a des antécédents familiaux, le médecin demandera des analyses de sang supplémentaires. En outre, des données importantes sur les maladies, les habitudes alimentaires, les résultats scolaires, le statut vaccinal, l’exercice physique, les comportements sociaux et addictifs, mais aussi les expériences sexuelles sont enregistrées.

Enfin, il y a un entretien de conseil. Les adolescents décident eux-mêmes s’ils veulent avoir cette conversation seuls ou en présence de leurs parents. Les adultes doivent préparer leurs enfants à un examen physique avant la visite chez le médecin. Parce qu’à la puberté, le sentiment de honte est très grand chez les adolescents;